L'épais cachemire
Semblait la couvrir
Du froid londonien
Qui creusait ses reins.
* * *
Montant l'avenue,
Un homme la salue,
Il vient de Cuba
Et offre son bras.
* * *
Elle se prend à croire
Que c'est leur Histoire,
Mais lui ne désire
Qu'une heure de plaisir...
© Annsun
Eh oui, chacun a ses priorités... mais quelle image donnes tu de nous les hommes ? Heureusement nous ne sommes pas tous comme cela ...
Bises de Phil
Rédigé par : philco | dimanche 24 jan 2010 à 22:46
Je donne l'image que j'ai pu rencontrer parfois, mais rassures-toi Phil, j'en ai d'autres plus rassurantes et que je préfère... sourires...
Belle journée à toi ami
Rédigé par : Ann | vendredi 29 jan 2010 à 08:18
Elle donne son bras et...très envie de ce cours instant de plaisir...
Sourire aux yeux...du bonheur à deux...
L'Histoire viendra...un jour
Rédigé par : baigon | vendredi 19 fév 2010 à 17:16
Bras dessus, bras dessous... sa main, à elle, dans sa poche, à lui... sa main, à lui, sur sa main, à elle... il faisait froid ce soir-là... la suite ne le fut point... l'Histoire viendra... ou reviendra... Merci Ami
Rédigé par : Ann | jeudi 25 fév 2010 à 15:12
Que croire dans le regard profond d'autrui ?
Que voir à travers un sourire perdu ?
Qu'entendre au son d'une brève louange ?
Rédigé par : nina de zio peppino | lundi 08 mar 2010 à 15:32
Pour lui, une heure de plaisir... Pour nous, 2 mois d'attente! C'est trop long!
Rédigé par : christiana | dimanche 14 mar 2010 à 11:57
Pourtant, mesdames, apprenez à aimer l'homme tel qu'il est, sans chercher à le changer... et prenez les libertés qu'il ne tolère pas... les plus forts vous en seront reconnaissants... et cela vous fortifiera plus que vous ne le croyez.
Annsun... je vous embrasse...
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Rédigé par : Nebo | dimanche 27 juin 2010 à 21:17
Ce nouveau design est maginifique.. Mais à quand de nouveaux billets.. Je me languis de vos mots brûlants de désir...
Rédigé par : Roberto Alvarez | vendredi 07 jan 2011 à 19:37
Invitation de Pierre LOUŸS
« Vous marchez d’un tel pas,
Madame, je suis prêt à fondre...
— Monsieur, je ne vous connais pas
Et je n’ai rien à vous répondre.
— Que de poils sur votre manchon !
Peut-on voir ceux de votre ventre ?
— Monsieur ? vous êtes un cochon.
Laissez-moi tranquille, je rentre.
— Vous masturbe-t-on par-devant,
Madame, quand on vous encule ?
— Dieu que cet homme est énervant !
Il va me rendre ridicule.
— Madame j’ai la pine à l’air.
J’aurais besoin de votre bouche.
— Mais vous êtes toqué, mon cher.
À quelle heure est-ce qu’on vous couche ?
— Allons, nous tirerons six coups.
Montez chez moi je vous enfile.
— Je veux bien, mais dépêchez-vous
Dans une heure je dîne en ville. »
Rédigé par : PointG-dit | vendredi 08 avr 2011 à 13:40