ANNSUN

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COMME UN DRAP

Comme un drap de soie, ton corps m’enveloppe - Le froid dehors a cassé son nez sur les vitres gelées – Ce froid qui mord – Ces morsures de la vie sur nos peaux – Caresses sur nos corps qui n’en peuvent plus de ce froid – Tes mains remontent et tu enroules le drap froissé autour de ma poitrine – Soupirs de nos yeux dans nos yeux – Je te pense, je te rêve, je te sens – Ne pars pas, ne pars plus – Restes en moi – Collier de tes doigts le long de mon cou – Sève brûlante dans mon ventre vide – Souffle de toi dans la nuit rubis – Je distingue le contour de tes lèvres – Entr ‘ouvertes – Apaisées après le feu passé – La tempête gronde – Dehors – Le cœur des hommes est immense – Parfois – Comme un drap de toi…


© Annsun

Rédigé le mardi 25 nov 2008 à 19:36 dans Des mots sans maux | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)

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SENSATIONS

Lorsque ma peau le ressent,
Sensations aquar'ailées,
Letmotiv de tout mon être,
Etrangeté de l'instant...

C'est comme un frisson dans l'O,
Au-delà de la raison,
Ombres d'or et de lumières,
Erre mon âme, à sa recherche...

Pour toute aide-mémoire, je veux
Heureux, l'imaginer, puis,
Ivre de son corps en feu,
L'oublier, pour mieux l'aimer...


© Annsun

Rédigé le dimanche 16 nov 2008 à 17:04 dans Des mots sans maux, Poésie | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)

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APRES L'AMOUR...

Il lui dit : "Nous nous voyons de moins en moins et je t'aime de plus en plus...".

Elle sut que si elle voulait garder sa vie pour elle seule, elle la perdrait.

Elle n'avait point le besoin de le voir. Seulement l'envie, cette envie vous savez, celle qui ronge chaque jour davantage les minutes, les heures et les nuits, ce désir fou qui fait ployer et pleurer les feuilles d'argent des arbres des forêts profondes...

Pourquoi la nuit était-elle si tiède à cet instant précis ?

Ce fut comme un cri, ce fut comme un immense vertige lorsqu'il la pénétra, dans cette chambre de passage.
Claquaient les vagues, hurlait le vent.

La cigarette après l'amour. Son esprit vagabondait. Leurs corps étaient nus et beaux. Elle posa alors sa tête contre sa poitrine, à Lui. Elle sentit ses doigts caresser son cou poudré de mille gouttelettes de sueur ; et ses doigts, encore, qu'elle connaissait et dont elle aimait le parfum, dessinaient avec émotion l'arrondi de ses épaules.

"Nous nous voyons de moins en moins et je t'aime de plus en plus...".

© Annsun

Rédigé le mardi 11 nov 2008 à 23:04 dans Des mots sans maux | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)

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LES MAINS

Je t'assure, je n'ai rien dans les mains ! Si tu le désires, regardes ! Je les tiens derrière mes reins, juste là, dans le creux... tu sais... mais elles ne tiennent pas en place car elles ne sont pas de glace. Au totem du désir, je t'offre mon plaisir. Mes mains tu places à ton gré... dans tes cheveux, tu les sens ? Guider tes lèvres sur les miennes... puis liées à cette pierre... soudées l'une à l'autre. Elles emportent tes murmures et tes baisers. Le ciel étoilé sur nos peaux frissonne, la crique danse sous les vagues, tanguent nos corps qui s'ouvrent encore... comme nos mains en sang sur nos hanches striées. Offrandes vierges de tout tabou. Pavots posés sur nos écrits.


© Annsun

Rédigé le lundi 22 sep 2008 à 09:36 dans Des mots sans maux | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)

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