Et sous tes doigts gémir,
Tissus intimes frémir,
Ta langue cherche à ouvrir
Ce bouton en délire...
Tu aimes toucher mon corps,
Brûlant sous le tussor.
La déraison encore
Déchirant notre aurore...
Puis au petit matin,
Tes baisers sur mes seins,
Tu laisses courir tes mains,
Mots sur le parchemin...
© Annsun
Ton poème sied à merveille à Rodin.
Rédigé par : christiana | samedi 18 avr 2009 à 18:38
Je te remercie Christiana. Belle nuit à toi.
Rédigé par : Ann | lundi 20 avr 2009 à 22:50
Un dessin, deux seins, quatre seins... une bouche, deux bouches, quatre paires de lèvres... la fièvre, le désir, le plaisir... surtout de vous lire !
Bises de Phil
Rédigé par : philco78 | vendredi 01 mai 2009 à 23:51
... Mmmmm.. tu comptes bien, ami Phil ! Merci pour ce doux message
Rédigé par : Ann | mercredi 27 mai 2009 à 12:55